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Cette manifestation se déroulera dans le cadre de la première édition des Assises de la recherche qui se tiendront du 10 au 15 décembre, dans les différents centres de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, sur le thème déplacer les frontières de la recherche en sciences humaines et sociales.
Plus d’informations sur Le genre à la frontière de nos disciplines : assisesp1ps.sciencesconf.org
Programme
14h Ouverture de la journée
Sandra Laugier, Anne-Marie Leroyer, Violaine Sebillotte Cuchet
14h30 L’espace du genre ou Ce que la géographie fait au genre
Marina Blidon
15h Que fait le genre à l’histoire de l’Afrique coloniale ?
Anne Hugon
15h30 Filiation et genre
Perrine Ferrer
16h Pause
16h15 Ce que le genre fait à l’institution culturelle et à ses publics
Marco Dell’Omodarme
16h45 Des difficultés du genre : le discours des économistes libéraux du 19e siècle français
Pathalie Sigot
17h15 L’importance de l’interséctionnalité pour la philosophie féministe
Marta Dell’Aquila
17h45 Discussion générale avec présentation des programmes de nos équipes et instituts.
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Comité scientifique : Jean Pierre Bardet (Paris Sorbonne), Denis Crouzet (Paris Sorbonne), Stéphane Grimaldi (Mémorial), Serge Gruzinski, Alain Hugon (HistTéMé –ex-CRHQ), Jean Pierre Poussou (Paris Sorbonne), François Rouquet (HisTéMé-ex-CRHQ)
Avec le soutien de l’Université de Caen Normandie, de la faculté des lettres de Sorbonne université, du Mémorial de Caen, de l’EA HisTéMé (ex-CRHQ), du Centre Roland Mousnier (UMR 8596), du LabEx EHNE, de la MRSH/Séminaire Temps de l’Empire Ibérique, de l’APHG régionale, Caen la Mer.
Argumentaire
Dix ans après la disparition de Pierre Chaunu (1923-2009), son héritage intellectuel nécessite un premier bilan. Pionnier et passeur, cet historien a bâti une importante œuvre personnelle et fait école dans la deuxième moitié du XXe siècle. Plus largement et de façon diffuse, il a élargi sans cesse le champ des problématiques historiques et proposé diverses méthodes pour les résoudre dont les scientifiques actuels sont comptables. L’objectif de ce colloque est d’examiner les possibles relectures des idées et des concepts nés ou/et diffusés par Pierre Chaunu pendant son demi-siècle de magistère pour en mesurer à la fois l’actualité et les écarts avec les questions actuelles, cela à partir du point de vue d’historiens du XXIe siècle, dont la formation n’a été influencée qu’indirectement par l’enseignement de l’historien. Cet examen impose la prise en compte des profondes mutations qui ont bouleversé les sociétés à l’échelle planétaire, de la fin de la Deuxième Guerre mondiale à nos jours. Plusieurs axes de la production historique de Pierre Chaunu pourront être réexaminés à la lumière des évolutions historiographiques des premières décennies du XXIe siècle : la globalisation, la démographie, les mentalités, l’histoire quantitative et sérielle, mais aussi les problèmes des rapports de l’historien avec ses disciples, ou encore avec ses éditeurs.
Dans quelle mesure le « désenclavement » de l’espace européen au XVIe siècle préfigure-t-il la mondialisation du XXIe siècle ? Un premier axe pourra interroger les travaux de Pierre Chaunu sur l’expansion européenne à l’époque moderne et la première mondialisation ibérique, replacés au sein des différents courants historiographiques de l’histoire coloniale et globale développés à partir des années 1990 (world history, global history, histoire atlantique, histoire hémisphérique, etc.). Si Séville et l’Atlantique doit beaucoup au choc de la crise économique de 1929, les bouleversements géopolitiques de la fin du XXe siècle et les interrogations nés de l’âge de la globalisation états-unienne ont eu un impact profond sur les historiens contemporains et leurs travaux. Les communications pourront dès lors interroger les continuités et les décalages entre ces historiographies (d’une approche macroéconomique à la lecture socio-culturelle des colonial studies), tout en réexaminant les concepts employés par Pierre Chaunu : les origines du désenclavement du monde, la prééminence de l’Europe sur la Chine, la conquista comme modèle alternatif à la frontière turnerienne nord-américaniste, etc.
Le second axe propose de réévaluer les catégories et les méthodes de la démographie historique proposées par Chaunu, à l’heure du développement de l’histoire des femmes et de l’histoire du genre. Dans le sillage des transformations scientifiques et médicales, les changements démographiques ont bouleversé les équilibres à tous les niveaux, tant planétaires entre les continents (l’Europe passant de 22% de la population mondiale en 1950 à moins de 10% en 2018) qu’à l’échelle des individus et des structures familiales : les mutations de la condition féminine, les recompositions des familles, les phénomènes de migration constituent autant de processus à réévaluer par rapport aux cadres conceptuels de la deuxième moitié du XXe siècle. La longue durée des comportements démographiques, le « monde plein », le retard au mariage comme « grande arme contraceptive de l’Europe classique », sont autant de notions à réexaminer à la lumière d’une lecture culturelle des catégories de genre.
Le troisième axe met à l’épreuve les liens réels et supposés entre « l’histoire des mentalités » que Pierre Chaunu pratiquait et « l’anthropologie historique ». L’actualité des problèmes dits « religieux » infirme la possibilité d’un désenchantement complet du monde. Elle doit nous amener à reconsidérer l’œuvre et le legs en histoire religieuse de Pierre Chaunu, notamment son Temps des réformes, autant que son enquête sur La mort à Paris, deux travaux qui questionnèrent l’angoisse du monde qui a pu se résoudre par et dans la piété, les rites et les croyances, autant que le désir de réforme, de pénitence et de violence. Qu’une société ou un collectif plus restreint s’assigne une identité de foi unique et militante, qu’ils désignent d’autres groupes comme inassimilables au corps social, que la conversion, la mission ou la violence soient envisagées pour résoudre les tensions et, supposément, pacifier une société entre en forte résonance avec le monde d’aujourd’hui et les problèmes soulevés par Pierre Chaunu. Pour interroger les réalités religieuses de l’époque moderne, Pierre Chaunu s’était fait « historien des mentalités » sensible aux apports de la sociologie, de l’ethnologie et de la psychologie, recourant à des méthodes attentives aux états d’âmes des individus étudiés, à leur inscription dans des espaces et des temps qui façonnaient une forma mentis, à leur participation à des collectifs dotés d’identités fortes et de référents culturels forts, qu’ils soient d’élite ou populaires, laïcs ou confessionnels.
Le quatrième axe interrogera les méthodologies mises en place par Pierre Chaunu, en particulier son inscription dans le courant de l’histoire quantitative et sérielle. Après le virage technologique issu de la révolution informatique, les méthodologies issues du quantitativisme sont-elles encore de mise ? Se sont-elles répandues au point d’être devenues communes ou bien leur mise en cause par d’autres procédés (microstoria, histoire conceptuelle, New literacy studies, etc.…) introduisent-elles de nouvelles pratiques ?
Un cinquième axe proposera des réflexions sur les concepts utilisés par Pierre Chaunu pour interpréter les sociétés : les notions de paix, de décadence et de violence appartiennent à l’histoire et offrent des clés pour analyser les groupes sociaux et leurs activités.
Un dernier axe tendra à examiner les productions historiques de Pierre Chaunu à l’aune de l’histoire culturelle, depuis les relations entretenues avec les éditeurs jusqu’à la question des filiations intellectuelles par les biais des responsabilités au sein de la communauté universitaire (doctorats, laboratoires, etc.). Les diverses entretiens réalisés par Pierre Chaunu permettent d’étudier l’atelier de l’histoire, depuis son egohistoire jusqu’à ses interventions dans la cité comme historien.
Programme
Mercredi 6 février 2019
- 9h30-9h45 : accueil des participants.
- 10h : ouverture par Stéphane Grimaldi.
De l’histoire atlantique, histoire hémisphérique, world history, global history
Présidence et discutant : Jean-Pierre Poussou (université de Paris Sorbonne).
- 10h15-10h55 : Sylvain Lloret (Université de Caen), L’Espagne de Pierre Chaunu.
- 10h45-11H15 : Juan Carlos d’Amico (Université de Caen), Le Charles Quint de l’historien.
- 11h15-11h45 : Natividad Ferri (Université de Caen / Paris Ouest Nanterre), Systèmes de civilisation et crises dans le paysage démographique indien du Pérou (1532-1980).
- 11h45-12h15 : Louise Benat Tachot (Université de Paris-Sorbonne), L’Amérique et les Amériques au XXIe siècle.
12h15-12h45 : discussion
Des méthodes de la démographie historique
Présidence et discutant : Jean-Pierre Bardet.
- 14h15-14h45 : Vincent Gourdon (CNRS/CRM) et Cyril Grange (CNRS/CRM), Histoire religieuse et approche quantitative: les mariages mixtes à Paris.
- 14h45h-15h15 : Mickael Gasperoni (CNRS/CRM) et David Mano, Les discours testamentaires juifs en Italie centrale à l’époque moderne : une approche comparative (États de l’Église, Toscane).
15h15-15h45 : discussion.
De l’histoire des mentalités à l’anthropologie historique. Rites et religion
Présidence et discutant : Denis Crouzet.
- 16h15-16h45 : Antoine Roullet (CNRS/CRH), L’historien de la mort.
- 16h45-17h15 : Nathalie Szczech (Université de Bordeaux), Penser le temps des Réformes. Pierre Chaunu face à l’histoire religieuse européenne du XVIe siècle.
17h15-18h : Discussion
Jeudi 7 février 2019
Des concepts en histoire
Présidence et discutante : Alexandra Merle.
- 9h00-9h30 : Caroline Callard (université de Paris Sorbonne), L’historien, la mort, l’amas. Quelques remarques sur La mort à Paris de Pierre Chaunu.
- 9h30-10h00 : Severin Duc (EFR), Pierre Chaunu : Violences de l Ancien et du Nouveau Monde.
10h-10h45: discussion et pause.
- 10h45-11h15 : Thomas Hippler (université de Caen), La notion de paix.
- 11h15-11h45 : Lucien Bély (université de Paris Sorbonne), La notion de civilisation dans l’œuvre de Pierre Chaunu.
11h45-12h30 : Discussion
De l’histoire quantitative et sérielle à l’histoire culturelle 1
Présidence et discutant : André Zysberg.
- 14h-14h15 : Hélène Bonnamy (Archives du Calvados) et Julie Deslondes (Archives du Calvados), Les archives Pierre Chaunu aux AD 14.
- 14h15-14h45 : Emmanuel Laurentin (France-culture),Faire parler Pierre Chaunu.
- 14h45-15h15 : Bertrand Müller (Université de Genève),Le nombre et la série: les avatars de l’histoire sérielle.
15h15-15h45 : discussion et pause
De l’histoire quantitative et sérielle à l’histoire culturelle 2
Présidence et discutant : Francois Rouquet (université de Caen Normandie).
- 15h45-16h15 :Benoit Marpeau (université de Caen), Chaunu et ses éditeurs.
- 16h15-16h45 : Isabelle Lacoue Labarthe, (Sciences Po Toulouse/LaSSP), P. Chaunu et l’égo-hisoire.
16h45-17h15 : discussion.
17h15 :Conclusion
Denis Crouzet (université de Paris Sorbonne), Alain Hugon (Université de Caen Normandie)
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Organisation : Denis Crouzet (Sorbonne Université), Elisabeth Crouzet-Pavan (Sorbonne Université), Loris Petris (Université de Neuchâtel) et Clémence Revest (CNRS)
Avec le soutien de l’axe 3 (Humanisme européen) du Labex EHNE, du Centre Roland Mousnier (UMR 8596) et de l’Université de Neuchâtel.
Programme
Jeudi 28 février
19h00 : accueil des participants
Vendredi 1er mars
9h00 : ouverture du Colloque
L’humaniste ou le pouvoir du savoir
Président : Loris Petris
- 9h15 : Jacques Verger (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres/CRM), Les chanceliers de l’université de Paris au XVe siècle : hommes de savoir, hommes de pouvoir.
- 9h50 : Jean-Baptiste Delzant (Université d’Aix-Marseille), Des échanges de bons procédés. Les seigneurs et leurs chanceliers dans les villes d’Italie centrale (fin XIVe – XVe siècle).
- 10h05 : Carla Maria Monti (Università cattolica. Milan), Pasquino Cappelli e il rinnovamento umanistico della cancelleria viscontea.
- 10h40 : discussion.
Président : Gérald Chaix
- 11h15 : Guido Capelli (Université de Naples), Nelle stanze del potere. Funzionari-umanisti alla corte di Ferrante d’Aragona.
- 11h50 : Clémence Revest (CNRS/CRM), « Causer plus de tort que trente cohortes de cavaliers ». Mythologies « chancelleresques » dans l’Italie humaniste.
- 12h05 : Marc Boone (Université de Gand), Les chanceliers des ducs Valois de Bourgogne: technocrates et/ou idéologues ?.
- 12h40 : discussion.
L’humaniste ou le pouvoir du langage
Président :Jacques Verger
- 14h40 : Isabella Lazzarini (Université du Molise), L’humanisme au quotidien. Écrits et écritures de chancellerie dans l’Italie septentrionale (XVe siècle).
- 14h55 : Brian Jeffrey Maxson (East Tennessee State University), The Private, the Public and the Letters of Fifteenth-Century Florentine Chancellors.
- 15h20 : Pierre Couhault (Labex EHNE/CRM), Les chanceliers des ordres de chevalerie à la Renaissance: Entre culture médiévale et humanisme.
- 15h55 : discussion.
Président : Marc Boone
- 16h40 : Pierre Salvadori (doctorant ENS Ulm), Mémoires humanistes à la cour de Suède : Olaus Petri et Gustav Vasa face aux mythologies gothicistes.
- 16h55 : Richard Cooper (Université d’Oxford), Thomas Wriothesley et Stephen Gardiner diplomates.
- 17h20 : Jean-Marie Le Gall (Université Panthéon-Sorbonne), Les chanceliers de France et la République des Lettres (premier XVIe siècle) .
- 17h55 : discussion.
Samedi 2 mars 2019
L’humaniste ou le pouvoir en actes
Président : Richard Cooper
- 9h15 : Laurent Vissière (Sorbonne Université/CRM), Jean de Ganay, un chancelier humaniste au service de Charles VIII et de Louis XII.
- 9h50 : Séverin Duc (Ecole française de Rome), L’humanisme dans la tempête des guerres d’Italie : Girolamo Morone « suprême chancelier » et « timonier » de l’état de Milan (1522-1525).
- 10h05 : Laure Chappuis Sandoz (Université de Neuchâtel), Michel de L’Hospital, du pouvoir à la disgrâce: itinéraire poétique et rétrospectif d’un serviteur du roi.
- 10h40 : discussion.
Président : Jean-Marie Le Gall
- 11h15 : Olivier Spina (Université de Lyon Jean Moulin), L’humaniste qui censurait les livres : Thomas More, Lord Chancelier d’Henri VIII (1529-1533).
- 11h50 : Gerald Chaix (CESR/Université François Rabelais Tours), Entre humanisme et réformes : chanceliers et chancelleries des villes libres d’Empire au XVIe siècle.
- 12h05 : discussion.
12h20 : Conclusions, Mark Greengrass (Université de Sheffield/Centre Roland Mousnier) :
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Colloque international
Organisation : Nadine Akhund, UMR SIRICE, Jean‐Michel Guieu, Université Paris 1, Panthéon‐Sorbonne.
Avec le soutien de l’axe 3 (Humanisme européen) du Labex EHNE, de l’UMR Sirice et de la Fondation Carnegie (New York).
Argument
Le tournant de la Grande Guerre marque une ère nouvelle dans les relations internationales, désormais fondée sur l’articulation entre paix, droit et diplomatie. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’une des organisations les plus en vue pour la promotion d’un ordre international libéral, la Dotation Carnegie pour la Paix Internationale, créée en 1910.
Les dangers de la « paix armée » à la Belle Époque, puis l’hécatombe de 1914-1918, ont suscité une large réflexion quant aux moyens de construire une paix durable. La Dotation Carnegie s’est rapidement taillée dans ce domaine un rôle de premier plan.
Mais de quelle façon cette organisation philanthropique américaine a-t-elle cherché à renouveler l’activisme en faveur de la paix et pour quels résultats ?
Les concepts directeurs de son action, diplomatie privée, progrès du droit international, développement d’un « esprit international » par l’éducation et vision globale de l’ordre mondial, seront au cœur de la réflexion.
Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Programme
Jeudi 14 mars 2019
- 15h00 : accueil des participants.
- 15h15 : Introduction.
Session 1 : Repenser les relations internationales. Le nouveau rôle de la philanthropie américaine au lendemain de la Grande Guerre
Présidence : Laurence Badel (Université Paris 1 Panthéon ‐ Sorbonne)
- 15h30 : Arnd Bauerkämper (Freie Universität, Berlin), Continuities and Ruptures in the Philanthropic Activities of US ‐ Foundations in Germany and France from 1918 to the 1970s.
- 15h50 : Ludovic Tournès (Université de Genève), La Dotation Carnegie pour la paix internationale : diplomatie privée et sécurité collective (1919‐1940).
- 16h10 : Helke Rausch (Albert‐Ludwigs‐Universität, Freiburg), Adding water to the wine. Carnegie diplomacy overloaded.
- 16h30 : discussion.
Table ronde (19h30–21h00) : L’« esprit international » au secours de la paix ?
L’action de la Dotation Carnegie en faveur de la réforme du système international Les dangers de la « paix armée » à la Belle Époque puis l’hécatombe de 1914‐1918 ont suscité une large réflexion quant aux moyens pour construire une paix durable. La Dotation Carnegie s’est rapidement taillé dans ce domaine un rôle de premier plan. De quelle façon a‐t‐elle agi en faveur de la paix et pour quels résultats ?
- Modérateurs : Johann Chapoutot (Sorbonne Université) et Nadine Akhund (SIRICE)
- Participants : Jay Winter (Yale University), Ludovic Tournès (Université de Genève), Andrew Barros (UQAM).
Vendredi 15 mars 2019
Session 2 : Le Bureau européen, au cœur des réseaux pour la paix
Présidence : Nadine Akhund (Sirice)
- 9h30 : Stéphane Tison (Le Mans Université), Paul d’Estournelles de Constant : éviter la guerre par la conciliation internationale.
- 9h50 : Michael Clinton (Gwynedd Mercy University), European Pacifists & “American Money”: Origins of the European Center of the Carnegie Endowment for International Peace, 1905‐1914.
Pause
- 10h30 : Jean Michel Guieu (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne), Le Centre européen de la Dotation Carnegie et le rapprochement franco‐allemand au lendemain de la Grande Guerre.
- 10h50 : Jens Wegener (Ruhr University Bochum), To Start a Liberal Movement in the World Again: The CEIP and the Campaign for Economic Peace, 1935‐1940.
- 11h10 : Discussion générale
Session 3 : Les Carnegie Men face aux épreuves de l’histoire
Présidence :Valérie Tesnière (La contemporaine)
- 13h30 : Thomas Bohn (Université de Giessen), Four Chapters of the Carnegie Report. Pavel N. Miliukov and the Carnegie Commission in the Balkans.
- 13h50 : Andrew Barros (UQAM), At the Centre of the Liberal Internationalist World Order: James T. Shotwell and the Carnegie Endowment Pursue Peace, 1919‐1945.
- 14h10 : Marcus Payk (Helmut Schmit Universität, Hamburg), James Brown Scott and the CEIP’s Division of International Law in War and Peace, 1917‐1920.
- 14h30 : Discussion générale
Session 4 : La Dotation Carnegie, quelles influences ? Le Droit, l’éducation et une nouvelle écriture de l’histoire
Présidence : Nicolas Vaicbourdt (Université Paris 1 Panthéon‐Sorbonne)
- 15h15 : Davide Rodogno (The Graduate Institute, Genève), The Near East Foundation et son modèle d’assistance technique pour le Proche Orient ; ses origines et son application entre 1930 et 1940.
- 15h35 : Katharina Rietzler (University of Sussex), The Carnegie Endowment and the ‘Problem of the Public’, 1910‐1950.
- 15h55 : Tamara Scheer (University of Vienna), The Making of the Carnegie First World War Series and Post War Animosities in former Habsburg Europe.
- 16h15 : Florence Prévost‐Grégoire (University College Dublin), La revue L’Esprit International (1926‐1940).
- 16h35 : discussion.
17h00 : Remarques conclusives
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Workshop doctoral organisé par Elisabeth Crouzet-Pavan avec le soutien du Centre Roland Mousnier (UMR 8596), de l’école doctorale 1 de Sorbonne Université et du LabEx EHNE.
Programme
- 9h : Pauline Guéna, Entre Venise et l’Empire ottoman, administrer le contact en Méditerranée (1453-1517).
Discutants : Jean-Claude Maire-Vigueur (Roma Tre), Guillaume Saint Guillan (Amiens), Simon Hasdenfeutel (Sorbonne unversité), Maxime Fulconis (Sorbonne université).
- 10h : Annabelle Marin, Des femmes de pouvoir? La haute noblesse féminine en Castille à la fin du Moyen Âge.
Discutants : Hélène Thieulin Pardo (Sorbonne Université), Denis Menjot (Lyon II), Pierre-Bénigne Dufouleur (Sorbonne Université), Aurore Leon (Sorbonne Université).
Pause
- 11h30 : Anne Kucab, Niveaux de Vie et consommation à Rouen dans la seconde moitié du XVe siècle.
Discutants : Marc Boone (Gand), Denis Menjot (Lyon II), Jérémy Guilabert (Sorbonne Université), Karl Peter Valk(Sorbonne Université).
Déjeuner
- 14h15 : Adrien Carbonnet, Punir et pardonner : le roi de France et les villes (1420-1480).
Discutants : Thierry Dutour (Sorbonne Université), Marc Boone (Gand), Aurore Leon (Sorbonne Université), François Foulonneau (Sorbonne Université).
- 15h15 :Pierre-Bénigne Dufouleur, Comprendre l’évolution des relations familiales au sein du Sacré-Collège au XVe siècle.
Discutants : Jean-Claude Maire Vigueur (Roma Tre), Andrea Zorzi (Florence, Professeur invité sur la chaire Dupront).
- 16h :Maxime Fulconis, Justice et résolution des conflits (ombrie, XIe-XIIe siècles).
Discutants : Jean-Claude Maire Vigueur (Roma Tre), Andrea Zorzi (Florence, Professeur invité sur la chaire Dupront).
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Conférence de Léora Auslander (Chicago University)
“Les juives et la création d’un chez soi diasporique en temps de crise : Paris et Berlin au XXe siècle”
Discussion : Florence Rochefort (CNRS)
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Journée d’étude organisée par le LabEx EHNE (Ecrire une Histoire Nouvelle de l’Europe) et l’IHA (Institut Historique Allemand)
Cette journée d’études intervient dans le contexte des élections européennes qui posent une nouvelle fois les questions de la démocratisation et de l’avenir de l’Europe politique.
Sur cette toile de fond, il s’agit d’interroger l’histoire des constructions narratives qui ont eu pour fonction la transmission de l’Europe aux jeunes générations dans une dimension supranationale.
Existe-t-il un grand récit européen pour la jeunesse ou une multitude de récits plus ou moins convergents, ou au contraire antagonistes voire concurrentiels selon les nations ou régions européennes ? Peut-on cartographier l’Europe selon les identités narratives que différents acteurs se forgent d’elle ? Sur quels faits historiques se sont construits ce(s) récit(s) européen(s) au cours de l’époque contemporaine ? Par quels supports et quels acteurs s’est transmise l’Europe à la jeunesse ? Quelles en seraient les dynamiques nationales/supranationales et les limites géographiques ? Quelles représentations en Europe et en dehors de l’Europe les jeunes ont de ce continent ?
Programme
Jeudi 16 Mai 2019
14:00 Mots d’accueil: Stefan MARTENS (IHA)
Sébastien LEDOUX (Sciences Po): Introduction
Les temps de l’Europe.
Présidente de séance: Anne Marie THIESSE (CNRS)
14:15 Emmanuel DROIT (Sciences Po Strasbourg)
Pour une mémoire européenne à parts égales: Quelle culture mémorielle de la Seconde Guerre mondiale dans l’Europe post-Guerre froide?
14:55 Korine AMACHER (Université de Genève)
Quelle place pour l’Europe dans les manuels scolaires postsoviétiques d’histoire de la Russie?
15:30 Pause-café
16:00 Christine CADOT (université Paris 8)
L’Europe au musée
16:35 Steffen SAMMLER (Georg Eckert Institut)
Histoire (trans)nationale? Représentations de l’Europe dans les manuels d’histoire française et allemande du XXe siècle
17:10 Patrick CABANEL (Université de Toulouse)
Littérature scolaire : des tours de la nation au tour de l’Europe?
Vendredi 17 Mai 2019
Les lieux de l’Europe
Présidence: Jacob VOGEL (Centre Marc Bloch)
9:30 Etienne FRANÇOIS (université Panthéon-Sorbonne et FU Berlin)
Comment mieux comprendre l’Europe grâce à ses lieux de mémoire
10:05 Edina KÖMÜVES (université Eötvös Loránd de Budapest)
Mohàcs, où l’image de la frontière européenne dans l’empire des Habsbourg
10:40 Maria NEAGU (université de Laval)
L’Europe dans les manuels moldaves d’histoire (1991–2019)
11:15 Pause-café
11:45 Eriona TARTARI (Academie des Études Albanilogiques, ASA Tirana)
Traductions et transferts d’œuvres des littératures de jeunesse en Albanie
12:20 Clarisse DIDELON LOISEAU (université Paris 1 Panthéon Sorbonne)
L’Europe vue d’Europe et du monde : représentations spatiales d’étudiants
13:00 Déjeuner
Les vecteurs de transmission de l’Europe
Présidence : Tristan LECOQ (Sorbonne Université)
14:00 Raphaelle RUPPEN-COUTAZ (SNSF et EUI Florence)
Former les enseignants « à l’esprit européen » pour transmettre l’idéal fédéraliste aux jeunes dans les années 1950
14:35 Philippe VONNARD (Institut des sciences de la communication CNRS/Paris-Sorbonne/UPMC)
Transmettre l’Europe du football à la jeunesse: le tournoi international des juniors
15:10 Anne BRUCH (Archives historiques de l’Union européenne – Centre de recherche Alcide De Gasperi)
« Appel de l’Europe » – Des films européens pour la première génération européenne
15:45 Pause-café
16:00 Eléonore HAMAIDE-JAGER (université d’Artois/ÉSPÉ Lille Nord-de-France)
L’Europe en littérature de jeunesse: un espace à investir?
16:35 Rachel CEYRAC et Julie RICHARD D’ALSACE (LabEx EHNE)
Enseigner l’Europe : les ressources pédagogiques de l’Encyclopédie pour une Histoire Nouvelle de l’Europe (EHNE)
17:10 Benoît FALAIZE (Sciences Po) : Conclusion
17: 30 Fin du colloque
Inscription et informations: event@dhi-paris.fr
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La journée d’études organisée par le LabEx EHNE (Sorbonne Université) et le Centre de recherche bretonne et celtique (Brest) entend mettre en évidence les rapports entre mouvements régionalistes ou nationalistes régionaux et Europe aux XXe et XXIe siècles. Deux questions sont ainsi privilégiées : Comment se combinent régionalismes, nationalismes régionaux et européismes ? Comment, dans cette perspective, s’articulent régions, nations, Europe ? Et ce dans une séquence chronologique allant des projets fédéralistes européens du début du XXe siècle à l’Union européenne. Il ne s’agit donc pas de rejouer l’historiographie régionaliste ou nationaliste régionale, mais de replacer les mouvements concernés dans les ensembles plus vastes de l’ouverture européenne : quelles furent et quelles sont les influences européennes de ces mouvements ? Comment se sont-ils situés, ou se situent-ils par rapports aux différents acteurs et projets européens des XXe et XXIe siècles ? Quels réseaux tout cela dessine-t-il ?
Organisateurs :
Sébastien Carney (CRBC-Université de Bretagne Occidentale), Olivier Dard (LabEx EHNE-Sorbonne Université), Marie Levant (LabEx EHNE-Sorbonne Université)
Contact et informations : labex.ehne2@gmail.com
Programme
9h Introduction
Olivier Dard (LabEx EHNE-Sorbonne Université) et Sébastien Carney (CRBC-Université de Bretagne Occidentale)
9h15 Session I : Régionalisme, fédéralisme et Europe
Modération : Sébastien Carney (CRBC-Université de Bretagne Occidentale)
François DUBASQUE (Maître de conférence en histoire contemporaine à l’Université de Poitiers / CRIHAM)
Le régionalisme, un fédéralisme interne ? Nouvelle organisation territoriale et idée européenne dans les milieux décentralisateurs français au XXe siècle
Olivier DARD (Professeur d’histoire contemporaine à Sorbonne Université et directeur du LabEx EHNE)
De « l’Europe des ethnies » à l’Europe des régions
Débat et Pause-Café
11h Session II : Régionalismes, nationalismes et identités
Modération : Marie Levant (Sorbonne Université-LabEx EHNE)
Paolo POMBENI (Professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Alma Mater Studiorum-Università di Bologna)
Une région à deux frontières. Le Trentin et le Tyrol du Sud entre identité culturelle autrichienne et appartenance politique italienne 1919-2019
Sébastien CARNEY (Maître de conférence en histoire contemporaine à l’Université de Bretagne Occidentale / CRBC)
Les nationalistes bretons face aux projets européens, des années 1920 aux années 2000 : une stratégie de l’étau ?
Débat et Pause-Déjeuner
14h15 Session III : Etats sous la pression régionaliste et européenne
Modération : Olivier Dard (LabEx EHNE-Sorbonne Université)
Paul DIRKX (Maître de conférence de Langue et littérature françaises à l’Université de Lorraine / Centre de recherche Écritures)
La Belgique, laboratoire de l’Europe ethnolibérale
Gilles LEYDIER (Professeur des Universités en civilisation britannique contemporaine à l’Université de Toulon / Laboratoire Babel)
Entre nationalisme identitaire, « britannicité » et intégration européenne : le cas de l’Ecosse
Hélène DEWAELE VALDERRÁBANO (Maître de conférence en civilisation de l’Espagne contemporaine à Sorbonne Université / CRIMIC)
Le nationalisme catalan et l’enjeu européen (XXe -XXIe siècles)
Débat et Pause-Café
16h30 Conclusions
Sébastien Carney et Olivier Dard
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Organisation :
Sabikou MOUMOUNI
Lorraine STRAVENS
Loukey Kouamé YOCOLY
Programme
08H30 – 09H00 : Accueil
09h00 – 09H15 : Introduction par Michel CATALA, Professeur d’histoire contemporaine, Université de Nantes
Atelier n°1 – L’Europe et l’Afrique : des coopérations économiques aux multiples enjeux politiques
Président : Mamoudou GAZIBO, Université de Montréal (Canada)
09H30 – 10H00 : Un néocolonialisme pour tout ? Possibilités et limites de l’activité française en Afrique de l’Ouest et Afrique centrale, 1958 – 1974
par Alexander KEESE, Professeur d’histoire, Université de Genève (Suisse).
10H00 – 10H30 : Globalisation et aide au développement. Quel rôle pour la coopération au développement de la CEE dans les années 1980 ?
par Guia MIGANI, Maître de conférence, Université de Tours (France).
10H30 – 10H45 : Discussion avec le public
10H45 – 11H00 : Pause
11H00 – 11H30 : L’Europe et l’Afrique : du conflit économique à la confrontation politique : cas des rapports conflictuels franco-ivoiriens de 2000 à 2004
par Guessan KOUADIO, Maître de conférence en histoire contemporaine, Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan, Côte d’Ivoire.
11H30 – 12H00 : Les mesures restrictives et positives comme instruments de pression politique : le cas des rapports CEE-Afrique du Sud (1986 – 1994)
Loukey Kouamé YOCOLY, Doctorant en histoire contemporaine, Université de Nantes.
12H00-12H15 : Discussion
12H15 – 14H00 : Pause déjeuner
Atelier n°2 – Le partenariat UE-Afrique à l’épreuve de la mondialisation économique
Président : Alexander KEESE, Université de Genève (Suisse)
14H00 – 14H30 : L’Économie politique du Franc CFA
par Kako NUBUKPO, Professeur titulaire de Sciences Économiques (Université de Lomé, Togo), ancien Ministre togolais chargé de la prospective et de l’évaluation des politiques publiques, ancien Directeur de la Franco-phonie Économique et Numérique au sein de l’OIF (Paris).
14H30 – 15H00 : Coopérer en situation d’asymétrie : la Chine et l’Afrique
par Mamoudou GAZIBO, Professeur titulaire au département de science politique (CERIUM), Université de Montréal (CANADA).
15H00 – 15H15 : Discussion avec le public
15H15 – 15H30 : Pause
15H30 – 16H00 : China-bashing : un stratagème européen pour contrer la Chine en Afrique ?
par Sabikou MOUMOUNI, Doctorant en histoire des relations internationales contemporaines et science politique (Alliance Europa), Université de Nantes.
16H00 – 16H30 : Les collectivités territoriales au service de la reconquête économique européenne : entre solidarité et compétitivité
par Lorraine STRAVENS, Doctorante en histoire des relations internationales contemporaines et science politique, Université de Nantes.
16H30 – 16H45 : Discussion avec le public
16H45 – 17H00 : Synthèse de la journée, par Céline PAUTHIER, Maître de Conférence à l’Université de Nantes.
17H30 : Clôture de la journée
Programme à télécharger : PROGRAMME JE EUROPE – AFRIQUE -2019
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Journée d’études organisée par l’EHESS (CRAL – « Centre de recherches sur les arts et le langage » et PREMEC – « Premiers modes d’écriture de la Shoah ») et le LabEx EHNE (« Écrire une Histoire nouvelle de l’Europe »)
Responsable scientifique : Élise Petit, LabEx EHNE
Comité scientifique : Judith Lyon-Caen, Malena Chinski, Aurélia Kalisky, Esteban Buch
L’objet de cette journée d’études pluridisciplinaire est d’éclairer les stratégies de survie intellectuelle et spirituelle que révèle le vaste corpus de poèmes et de chansons clandestins, produits et souvent mis en circulation dans et à travers les frontières des ghettos et des camps pendant la Shoah. La forme versifiée semble y avoir été privilégiée par un grand nombre de victimes : obéissant à un besoin vital de saisir l’expérience d’une réalité inouïe, elle servait à ordonnancer le chaos, à la soumettre à la versification et à un rythme porteur de sens. S’intéressant aux entreprises de collecte effectuées pendant et juste après la guerre, cette journée abordera également la question de la création artistique dans les « camps de déplacés » des années 1945 à 1949. Elle se clôturera par une table-ronde et une présentation de l’ouvrage Chanter, rire et résister à Ravensbrück : Autour de Germaine Tillion et du Verfügbar aux Enfers, paru récemment au Seuil, en présence d’une partie de l’équipe de direction scientifique.
Programme
Matin (9h30-12h30)
9h30 Élise Petit, Aurélia Kalisky, Esteban Buch, Accueil des participants et présentation de la journée
10h Aurélia Kalisky, Zentrum für Literatur- und Kulturforschung, Berlin
“La poésie témoigne de nousˮ. Forme, rythme et figure comme principes de survie
10h45 Claude Mouchard
“Si étroite la durée du jourˮ (1941) – en relisant Avrom Sutzkever
11h30 Élise Petit
Aleksander Kulisiewicz, troubadour et collecteur
Après-midi (14h-17h)
14h Malena Chinski
Corpus de chansons et outils d’analyse de Nachman Blumental dans Conférences sur la littérature yiddish sous l’occupation nazie (1966)
14h45 Nathalie Cau
Le répertoire en yiddish dans le théâtre des “camps de déplacésˮ, 1945-1949
15h30 Présentation et discussion autour de l’ouvrage Chanter, rire et résister à Ravensbrück : Autour de Germaine Tillion et du Verfügbar aux Enfers.
Avec Philippe Despoix (Montréal), Cécile Quesney, Nelly Forget, Claude Mouchard, Esteban Buch et Élise Petit.